Pour obtenir cet émail « Fleurs de pissenlit », je suis parti de mon émail « Litchi« . En effet, cet émail très clair possède une bonne quantité de Titane, je souhaitais donc observer le panel de couleurs que je pouvais développer en partant de cette base.
J’ai donc effectué des tests en pesant la même quantité d’émail « Litchi » (déjà préparé) et en y ajoutant différents oxydes en différentes proportions. Cette méthode peu précise a le mérite de pouvoir mener un nombre important d’essais rapidement en évitant de nombreuses pesées. A la suite de ces essais, on confirmera les plus intéressants, s’il y en a, en repassant par la méthode des pesées.
Voici donc le résultat de ce premier test en ajoutant de l’Oxyde de Cuivre dans différentes proportions :
J’aime beaucoup le troisième échantillon. Je décide donc de refaire des essais en pesant réellement chaque matière première afin de déterminer la bonne quantité d’Oxyde de Cuivre correspondante :
Le quatrième échantillon a ma préférence ! L’émail semble cependant très coulant. Je réalise ensuite une progression de Silice :
Premier échantillon retenu, je décide ensuite de réaliser une progression d’Alumine à l’aide du Kaolin :
Je conserve l’échantillon du milieu et procède à mon test d’épaisseur :
Pour obtenir cet émail « Pistache », je suis parti de mon émail « Litchi« . En effet, cet émail très clair possède une bonne quantité de Titane, je souhaitais donc observer le panel de couleurs que je pouvais développer en partant de cette base.
J’ai donc fait des tests en pesant la même quantité d’émail « Litchi » (déjà préparé) et en y ajoutant différents oxydes en différentes proportions. Cette méthode peu précise a le mérite de pouvoir mener un nombre important d’essais rapidement en évitant de nombreuses pesées. A la suite de ces essais, on confirmera les plus intéressants, s’il y en a, en repassant par la méthode des pesées.
Voici donc le résultat de ce premier test en ajoutant de l’Oxyde de Nickel dans différentes proportions :
Ici, je retiens le troisième échantillon qui fait apparaître des teintes jaunes, vertes et marron ! Je décide donc de refaire des essais en pesant réellement chaque matière première afin de retrouver la bonne quantité d’Oxyde de Nickel correspondante :
L’échantillon avec le plus d’Oxyde de Nickel me plait mais quel résultat obtenir après ajout à nouveau d’Oxyde de Nickel ? Je décide donc de réaliser de nouveaux tests avec, d’une part, davantage d’Oxyde de Nickel :
le second me plait !
et, d’autre part, en faisant varier l’Oxyde de Titane :
Pas extraordinaire.
Je reviens sur mon second échantillon et fais une variation de Silice car l’émail a l’air un peu coulant :
Je sélectionne l’échantillon de droite qui m’a l’air un peu moins coulant.
J’essaye donc cet émail sur de plus grandes pièces :
Le résultat me satisfait pleinement !
Je réalise ensuite mon test d’épaisseur :
Voici quelques pièces avec cet émail « Pistache » :
Voici quelques pièces avec cet émail « Caramel » :
ref 30 066ref 20 120
Pour obtenir cet émail « Caramel », je suis parti de mon émail « Litchi« . En effet, cet émail très clair possède une bonne quantité d’Oxyde de Titane, je souhaitais donc pouvoir observer le panel de couleurs à développer en partant de cette base.
J’ai donc fait des tests en pesant la même quantité d’émail « Litchi » (déjà préparé) et en y ajoutant différents oxydes en différentes proportions. Cette méthode peu précise a le mérite de pouvoir mener un nombre important d’essais rapidement en évitant de nombreuses pesées. A la suite de ces essais, on confirmera les plus intéressants, s’il y en a, en repassant par la méthode des pesées.
Voici donc le résultat de ce premier test en ajoutant de l’Oxyde de Fer dans différentes proportions :
Ici, je retiens la couleur marron « Caramel » qui apparait au niveau du quatrième échantillon. Je décide donc de refaire des essais en pesant réellement chaque matière première afin de retrouver la bonne quantité d’Oxyde de Fer correspondante :
Pas facile de retrouver l’émail du quatrième échantillon. Il doit se situer entre les 3ème et 4ème, je relance donc un échantillonnage de différentes proportions d’Oxyde de Fer mais plus ciblé :
Je sélectionne le quatrième échantillon. Mais étant donné son léger caractère coulant, je réalise un test en faisant varier la Silice :
Je décide de rester sur l’échantillon du milieu et réalise par la même occasion mon test d’épaisseur :
Je teste cette formule sur de plus grandes pièces :
Voici quelques pièces avec cet émail « Granité rosé » :
ref 30 061ref 10 051
Pour obtenir cet émail « Granité rose », je suis parti de mon émail « Litchi« . En effet, cet émail très clair possède une bonne quantité de Titane, je souhaitais donc observer le panel de couleurs à développer en partant de cette base.
J’ai donc procédé à des tests en pesant la même quantité d’émail « Litchi » (déjà préparé) et en y ajoutant différents oxydes en différentes proportions. Cette méthode peu précise a le mérite de pouvoir mener un nombre important d’essais rapidement en évitant de nombreuses pesées. A la suite de ces essais, on confirmera les plus intéressants, s’il y en a, en repassant par la méthode des pesées.
Voici donc le résultat de ce premier test en ajoutant du Chrome dans différentes proportions :
Ici, grande surprise, un rose violacé apparait, probablement lié à l’Oxyde de Titane. Je savais que le Chrome pouvait se transformer en rose avec de l’Etain mais nulle trace d’Etain ici ! Je décide donc d’effectuer à nouveau des essais en pesant réellement chaque matière première et en diminuant la quantité de Chrome, pour savoir si le « violet » peut se transformer en « rose » :
Les deux premiers échantillons me conviennent, dont celui avec le moins de Chrome. On obtient un rose bonbon. Je décide de poursuivre les essais en ajoutant différentes quantités d’Etain (horizontale) avec différentes quantités de Chrome (verticale) :
Le résultat n’est pas formidable (L’échantillon vert doit correspondre à un oubli d’Oxyde de Titane).
Je décide alors de réaliser des tests sur de plus grandes pièces avec une faible concentration de Chrome :
Le résultat me satisfait mais, pour vérifier si la présence d’Etain a une influence, j’utilise la même base d’émail en ajoutant 1% d’Etain :
Je ne vois absolument aucune différence. Par conséquent, cet émail ne comportera pas d’Etain !
Je réalise ensuite mon test d’épaisseur pour cet émail « Granité rose » :
Voici quelques pièces avec cet émail « Polaire » :
ref 30 060ref 20 110ref 20 109ref 20 094
Pour obtenir cet émail « Polaire », je suis parti de mon émail « Litchi« . En effet, cet émail très clair possède une bonne quantité de titane, j’étais donc intéressé de voir le panel de couleurs que je pouvais développer en partant de cette base.
J’ai donc fait des tests en pesant la même quantité d’émail « Litchi » (déjà préparé) et en y ajoutant différents oxydes en différentes proportions. Cette méthode peu précise a le mérite de pouvoir mener un nombre important d’essais rapidement en évitant de nombreuses pesées. A la suite de ces essais, on confirmera les plus intéressants, s’il y en a, en repassant par la méthode des pesées.
He aquí el resultado de esta primera prueba añadiendo Cobalto en diferentes proporciones:
Aquí observo el color gris ligeramente azulado que aparece entre la segunda y la tercera muestra. Así pues, decidí repetir las pruebas pesando realmente cada materia prima para encontrar la cantidad adecuada de óxido de cobalto:
¡La primera muestra me gustó! Así que decidí preparar una gran cantidad de esmalte para probarlo en piezas más grandes:
Estoy muy contento con el resultado. ¡Me imagino este esmalte Polar para un arce, Dehojo en particular!
Al mismo tiempo realizo mi prueba de espesor, aunque, conociendo la base de este esmalte, es poco probable que el resultado sea inesperado:
He aquí algunas piezas realizadas con este esmalte:
ref 30 048ref 20 083
C’est en effectuant des recherches autour du Bleu de fer que je parviens à mettre au point cet émail « Nénuphar ».
De hecho, durante la investigación, intenté que el glaseado quedara menos líquido y utilicé el método cruzado para conseguirlo:
Partiendo del resultado en la parte superior de la cruz, realizo una prueba en una pieza más grande. Intentaré aplicar un grosor diferente en la pieza para observar el resultado:
El resultado es heterogéneo debido a las diferencias de grosor.
Realizo una prueba de espesor con esta fórmula:
Le résultat me plait, je décide de baptiser cet émail : « nénuphar »
En el libro de Daniel de Montmolin se indica que el azul de hierro puede obtenerse en torno al diagrama 25. Así que seguí adelante e hice una amplia búsqueda en este diagrama utilizando el método del triángulo:
Hay diferencias en los resultados, que se pueden obtener cuando se busca con buenas y malas sorpresas visibles en esta imagen.
Decidí seguir dos caminos:
El primero lo llamaré azul hierro en torno a estos 3 resultados:
y la segunda la llamaré Iron Yellow, que puedes seguir en este artículo: Iron Yellow.
A partir de estas tres muestras, añado diferentes proporciones de ceniza de hueso. Según Daniel de Montmolin, el fósforo favorece la aparición del azul:
Elijo 3 muestras para probarlas en piezas más grandes (primer plano):
Prueba de los 3 ensayos:
Elijo el esmalte de la prueba n°2 y procedo a una prueba en una pieza grande.
Sorpresa, desaparición del azul hierro
He perdido el azul. Aparece un esmalte amarillo (interesante pero nada esperado). ¿Qué ha ocurrido? ¿El hecho de haber tamizado el esmalte? ¿Esta cocción en particular?
Decido, en mi próxima cocción, volver a utilizar este glaseado para confirmar la ausencia de azul.
Puede ver que en la preparación anterior, el azul ha desaparecido por completo. ¿Se debe esto a que el esmalte se dejó reposar durante varias semanas? ¿Quizás el exceso de agua eliminado de este esmalte hizo desaparecer un componente previamente diluido en agua, lo que favoreció la aparición del azul?
Preparo otra cantidad de esmalte, esta vez sin tamizar (izquierda) y tamizando (derecha):
Con eso, ¡no es fácil salirse con la suya! ¿Es realmente el tamizado lo que hace desaparecer el azul o se trata de un espesor de esmalte ligeramente inferior en la muestra de la derecha?
Por lo tanto, volveremos a probar el espesor de esta nueva preparación. Si no se encuentra azul, significa que el esmalte no puede conservarse. Si, para un espesor mayor, vemos azul, podemos cuestionar la hipótesis del tamizado:
He aquí una prueba de espesor que se parece a algo... ¡Se ve que el espesor es esencial y eso explica los contratiempos que tuve anteriormente! Por otra parte, el esmalte está bastante aguado. ¡Intentaremos arreglarlo!
Para saber qué dirección tomar, utilizaremos el método cruzado (añadiendo o quitando SiO2 o AL2O3):
La sélection de l’émail en haut de la croix, qui apparaît moins coulant, me permet la mise au point d’un nouvel émail : « nénuphar« .
Hice una pieza grande con el esmalte del centro de la cruz y finalmente decidí detener ahí la investigación.
Aquí tiene algunas piezas realizadas con este esmalte "PACO Grey Speckled":
ref 20 149ref 20 073ref 20 075ref 20 057
Pour réaliser cet émail « Gris moucheté PACO » , mon point de départ était mon émail Peau d’abricot. Le caractère moucheté de cet émail me plaisait. Par conséquent, j’ai réalisé toute une série d’essais avec, en base, mon émail Peau d’abricot auquel j’ai ajouté différents oxydes. L’essai avec l’ajout d’oxydes de cobalt retient mon attention. Ci-dessous, l’ajout d’oxydes de cobalt en différentes proportions :
Muestra n°2 retenida, conservo pues esta concentración de óxidos de cobalto.
A continuación, procedí a una prueba en una habitación más grande para observar el resultado:
El resultado es muy satisfactorio, se aprecia un gris azulado con motas ocres.
Decidí hacer una prueba de espesor utilizando esta receta(enlace para construir una pequeña herramienta para medir el espesor del glaseado):
J’ai découvert cet émail « Bleu marine » lorsque j’effectuais des recherches pour mettre au point un violet, en l’occurrence mon « Bleuet« .
En partant de mon émail « Vieux rose« , j’ajoute de l’oxyde de cobalt:
Le point rouge de gauche fournira mon émail « Bleuet« . Le point rouge à droite est le départ de la mise au point de cet émail « Bleu marine ».
Realizo una prueba añadiendo aún más cobalto. En efecto, la muestra con mayor concentración de cobalto me muestra los inicios de un azul medianoche. Añadir más cobalto debería intensificar este aspecto y realizo la prueba en piezas grandes:
El resultado es muy bueno. Se obtiene un bonito azul marino con una textura agradable. Decido hacer una prueba de espesor (Puedes encontrar una breve descripción de la fabricación de herramientas aquí):
Estoy plenamente satisfecho con el resultado. Por lo tanto, ¡valido este nuevo esmalte!
L’obtention de cet émail « Pierre de lave » est arrivée au cours de mes recherches pour un Rojo de fer. En effet, après l’ajout de silice pour rendre mon Rojo de fer moins coulant, j’aperçois un émail satiné rouge sombre tirant vers le noir et ayant un peu de relief. J’imagine tout de suite un émail ressemblant à la lave.
Decidí probar este esmalte con mi famosa prueba de espesor (puede encontrar una breve descripción de la fabricación de la herramienta aquí):
Podemos ver que a espesores elevados, el esmalte se vuelve literalmente rojo, incluso fluido. La imagen de la lava sigue presente, ya puedo imaginarme piezas cuyo esmalte tenga esta textura.
Antes de validar este esmalte, lo pruebo en piezas más grandes:
Aunque el esmalte es más rojo que negro, me gusta su aspecto. Será interesante observarlo en piezas con más textura.
